Canada, la culture du blé et du maïs en temps froid

Sur près de 10 milliards de km2, le Canada étend un territoire très agricole. L’agriculture y est diversifiée, depuis les acres de colza, blé, pois et lentilles de Saskatchewan à ceux de maïs, soja de l’Ontario. Mais un facteur commun reste: le caractère extrême du pays, notamment marqué par de grandes fluctuations de température. Les températures hivernales peuvent atteindre -20°C, tandis que le thermomètre monte jusqu’à 30°C en été. Des conditions qui nécessitent une expertise particulière pour la gestion des cultures, celle des représentants TIMAC AGRO Canada.

LA GESTION DU FROID

Au moment des semis du maïs et du blé, les agriculteurs canadiens travaillent dans des sols froids (rarement au-dessus de 10°C), en­core sujets à de possibles gels du fait de leur teneur en eau. Un sol froid et humide réduit non seulement le taux de croissance des ra­cines des plants, il empêche également la décomposition des nutriments en formes uti­lisables par la plante. Les cultures tout juste semées se développent plus lentement, et n’arrivent pas à accéder au phosphore pour­ tant disponible dans le sol.

Il est alors nécessaire de fournir aux plants un phosphore aisément mobilisable et accessible pour soutenir le développement raci­naire et assurer une croissance solide. Deux éléments sont importants : une haute qualité du phosphore apporté, notamment grâce à des technologies qui le protégeront tout en le rendant utilisable par les plantes, et un emplacement stratégique près de la graine au moment de l’épandage (application en bandes dans ou près de la ligne de semis). Le deuxième point est particulièrement cri­ tique : un fertilisant starter bien placé, près de la graine, sera à disponibilité dès que les racines commenceront leur développement. Les racines auront alors tous les éléments nécessaires pour poursuivre leur extension et capter ensuite le phosphore naturellement disponible dans le sol. Une bonne implanta­ tion racinaire à ce stade permettra, même dans les sols froids du Canada, une meil­ leure absorption des nutriments et de l’eau. Cet accompagnement de la plante dans ses premiers stades permettra également une bonne résistance aux premiers stress abio­tiques qui sont courants en début de saison (gel).

  • Les céréales (dont le blé) répondent favorablement à l’utilisation du FERTIACTYL GZ lors d’une plantation à la fin de l’automne, notamment dans des sols peu fertiles
  • Le maïs (grain) est la culture sur laquelle la FERTIACTYL GZ a le plus d’effet, assurant ensuite un rendement élevé.

FERTIACTYL GZ

Fertiactyl GZ, nutriments pour croissance en période de stress.

  • Stimule le développement racinaire
  • Améliore la disponibilité et l’absorption des éléments nutritifs
  • Améliore la tolérance au stress abiotique

DES CULTURES MiSES À L'ÉPREUVE: GESTION DES STRESS ABIOTIQUES

Avec les brusques coups de chaleur et froid, des sécheresses pendant le stade 3-8 feuilles de la culture, le développement physiolo­gique de la plante est brutalement impacté. Les stress abiotiques deviennent aujourd’hui fréquents sur le territoire, en particulier aux stades critiques de la pollinisation et du remplissage des grains. Tout stress sur le blé ou le maïs à ce stade aura une répercussion im­portante sur le rendement et la qualité de la récolte. L’application de biostimulants fo­liaires apportent les nutriments nécessaires pour contrebalancer ces stress, tout en per­ mettant une conversion et une efficacité supérieure de ceux-ci.